Dans la vibrante ville de Montréal, vivait un jardinier nommé Marc, qui prenait soin d’une forêt nourricière avec un cÅ“ur plein de dévotion. Le jardin de Marc n’était pas seulement un lieu pour cultiver fruits et légumes; c’était un sanctuaire où le divin s’entrelaçait avec la générosité de la terre.
Au cÅ“ur de son jardin, Marc avait planté un bosquet de noisetiers. Ces arbres, robustes et généreux, étaient pour lui un symbole de la providence divine. Chaque noisette, une petite merveille, représentait la bénédiction de Dieu - un cadeau nourrissant, à la fois simple et miraculeux.
Marc travaillait non pour le profit ou la louange, mais comme un humble serviteur de Dieu. Il voyait l’étincelle divine dans chaque feuille et branche, et dans la danse complexe de l’écosystème. Son approche du jardinage était celle de la coopération, et non de la domination. Il écoutait les murmures des arbres et les besoins du sol, comprenant que dans ce respect mutuel résidait la véritable essence de la gérance.
Dans son jardin, chaque plante était autorisée à s’épanouir selon sa nature, tout comme Marc croyait que les gens devraient être libres de suivre leur propre chemin. Il étendait cette philosophie au-delà du jardin, à sa famille, ses amis et ses collègues, pratiquant le pardon, l’amour et l’acceptation.
La sagesse et la gentillesse de Marc attiraient les autres vers lui. Il tendait la main aux zones rurales autour de Montréal, forgeant des amitiés enracinées dans la permaculture. Ces liens étaient construits non sur la force des mots, mais sur le pouvoir doux de l’exemple et des valeurs partagées.
Marc parlait la vérité telle qu’il la comprenait, mais jamais il n’imposait ses croyances. Il connaissait sa dignité à recevoir la révélation divine, mais il restait humble, testant toujours les esprits pour s’assurer qu’ils venaient de Dieu. Dans son cÅ“ur, il portait un profond sentiment de préparation à rencontrer son Créateur, armé d’amour et de gentillesse pour toute la création.
La vie du jardinier était un témoignage de l’harmonie entre l’homme et la nature, et un rappel que dans l’acte de nourrir la terre, on nourrit l’âme. La forêt nourricière de Marc, en particulier son bosquet de noisetiers, était plus qu’un jardin; c’était un morceau de paradis, un lieu où le divin était palpable, et où chaque être vivant était honoré comme une partie de la magnifique tapisserie de Dieu.